Action d'un groupement associatif faisant parti de l'UNPS ( Union Nationale pour la Prévention du Suicide )Basé à Montpellier ( siège faculté de Médecine )
Table Ronde du 11 février 2010 Thème : Evolution des Mentalités sur la Prévention du Suicide
Intervention d'Alain GUYARD ( Professeur de philo ) est-il un philospohe des prisons ou en prison ?
Il nous raconte son vécu du partage philosophique avec les prisonniers.
Et de son approche existentialiste et de le la place de nos politiciens dans la non prévention du Suicide.
Denis CETTOUR Philosophe au Colloque 2009 - wideo
Denis Cettour Philosophe et Président du Comité d'éthique et Scientifique de l'Union Nationale pour la Prévention du Suicide. Intervient en temps que Médiateur et instigateur d'axe de réflexion, lors du Colloque de Nîmes sur la Prévention du Suicide 2009.
Petit récapitulatif vidéo de la table Ronde du 11 février 2010 à Montpellier sur le Thème : " La Prévention du Suicide évolution des Opinions " Nous porterons à votre connaissance la totalité du débat à partir de la semaine prochaine, car nous avons 2h30 de vidéo à traiter. Nous essayerons de classer les vidéos par Thème Le point de vue philosophique avec Alain GUYARD Le point de vue journalistique avec Patrick HOUPERT ( Journaliste à TF1 ) L'aspect Psychologique avec le Docteur G. COLIN Et la vision Théologique avec Régis HUGUET
Complément d'information sur l'intervention du Docteur G. COLIN
On sait désormais qu’il n’existe pas un gène de la dépression. Par contre, le terrain génétique a une influence dans le déterminisme de ces maladies : les parents au 1er degré d’un déprimé (parents, frères et sœurs, enfants) sont plus souvent atteints que la population générale; à titre d’exemple, dans la forme la plus « héréditaire » qu’est la maladie bipolaire : 1 % de la population générale est atteint, 10 % des parents au premier degré : le risque est donc multiplié par 10 ! chez les jumeaux monozygotes ou vrais jumeaux : lorsque l’un est atteint, la probabilité que l’autre le soit également est de 50 % ; chez les jumeaux dizygotes ou faux jumeaux cette probabilité diminue à 30 %.
Prédisposition génétique à la dépression.
Des chercheurs australiens ont étudié, sur une période de 25 ans, les relations entre les évènements de la vie, les gènes et la dépression.
La dépression est déclenchée par des événements majeures de la vie : décès d'un proche, séparation, etc... Cependant, les formes du gène impliqué dans le transport de la sérotonine modifieraient les chances de développer la maladie.
Il existe une forme longue et une forme courte du gène 5-HTTLPR. Les personnes qui ont la forme courte du gène et qui subissent deux à trois événements graves ont 80% de chances de développer une dépression. Sur la population étudiée, 21% cumulaient deux gènes courts.Avoir le 5-HTTLPR dans sa version courte ne déclenche pas de dépression mais la facilite. Dans les mêmes conditions, les personnes au gène long n'ont que 20% de chance d'avoir une dépression.Sur la population étudiée, 26% deux gènes longs .
Nous héritons de deux formes de ce gène par nos parents. Sur la population étudiée, 53% une combinaison court/long.
La détection de ce gène pourrait aider à se prémunir de la dépression... mais pourrait aussi dénoncer les dépressifs potentiels aux assurances... et ça, c'est moins drôle.
Pour 15% des personnes maniaco-dépressives, la souffrance est telle qu’elles choisissent de mettre fin à leurs jours. On ose peu parler de cette maladie "cachée", bien qu'elle affecte tout de même 7% de la population. Et on commence à peine à découvrir qu'elle pourrait avoir des causes génétiques, expliquait récemment le Dr Nicholas Barden, dans le cadre d'une conférence commanditée par une compagnie pharmaceutique, où il exposait le fruit de ses recherches. (Mon observation : attention cette étude a été financer par un Labo )
Une équipe de l'Institut de pharmacologie moléculaire de Sophia Antipolis (CNRS/Université de Nice) a déterminer une nouvelle cible pour de futurs traitements (Ces travaux paraissent dans la revue Nature Neurosciences du 09 septembre 2006.): un gène dont l'inhibition annihile les symptômes dépressifs. Les premiers résultats de laboratoire montrent que des souris ne possédant pas ce gène se comportent naturellement comme si elles étaient traitées chroniquement par des antidépresseurs.
Ce travail montre qu'on peut produire génétiquement une résistance à la dépression, et permet donc de désigner une cible nouvelle pour la recherche de nouveaux antidépresseurs qui, en inhibant ce canal, mimeraient ce qui se produit dans l'élimination génétique.
Deux fois plus fréquente chez les femmes que chez les hommes, la dépression affecte, sous ses formes les plus sévères, entre 2 et 5% de la population des pays les plus développés. Les formes plus légères, quand à elles, peuvent toucher 20% de la population. De plus, 1 à 2% de la population sont affectés par une maladie dite bipolaire, la maniaco-dépression.
Chez la plupart des malades, la dépression est causée par l'interaction entre une prédisposition génétique et des facteurs environnementaux comme le stress ou les traumatismes émotionnels. La maladie est fréquente et le marché des antidépresseurs est immense (au moins 10 milliards d'euros par an). Néanmoins, si ces antidépresseurs améliorent l'état des patients dans environ 70% des cas, ils n'entraînent une rémission complète de la maladie que chez 30 à 40% d'entre eux. De plus, près d'un tiers des sujets traités résiste aux traitements existants. Cet état de fait oblige donc à envisager de nouveaux traitements, capables de prendre en compte les mécanismes de la dépression.
Nos Actions 2010 : Nous allons essayé d'établir avec nos Docteurs ( Psychiatres ) et Intervenants Sociaux un outil de prévention répondant aux questions suivantes :
Comment savoir si quelqu'un est Dépressif ?
Comment évaluer le risque suicidaire et notamment l’imminence ou la gravité du passage à l’acte ?
Villa Maguelone
31 ter, avenue Saint Lazare
34 060 MONTPELLIER Cedex2
Téléchargement affiche ( A4 )ici
Répondez et Participez au sondage 2010 Questionnaire
Inscrivez-vous pour la soirée cliquez ici
Une vidéo sera trournée le vendredi 22 janvier à partir de 12 heure place de la comédie sur ce questionnaire.
Jeudi 11 Févier 2010 à 20 heure Thème :La Prévention du Suicide et l'évolution des opinions
Suite à la réunion de préparation entre Robert et Mme Ramondou, nous avons pris contact avec Gaëlle JOSSINET de WEB TV de Montpellier et le journaliste sera :
Patrick HOUPERT : Après avoir roulé sa bosse en Amérique latine et plus précisément au Chili, ce cameraman passionné d'images intègre tour à tour les équipes de différents médias (France 2, Francs 3, Canal +, Eurosport. puis, journaliste reporter d'images pour M6 Montpellier) il est depuis 1998 correspondant au bureau de TF1-LCI Languedoc-Roussillon.
Un intervenant sur l'aspect religion ( Régis HUGUET théologien ) et les Psychiatres S. Torrés ou G. Colin pour répondre au questions Psy, plus un Philosophe Alain Guyard..
Nous avons formuler ces questions, afin de vous interpeller et de permettre l'ouverture de la Table Ronde 2010
Question 1
Question 2
Question 3
Gaëlle JOSSINET de WEB TV de Montpellier prépare un plateau TV pour retransmettre la table ronde sur le WEB et le journaliste invité sera : Patrick HOUPERT :
Journaliste reporter d'images pour M6 Montpellier, il est depuis 1998 correspondant au bureau de TF1-LCI Languedoc-Roussillon.
L'intervenant sur le point de vue religieux ( Régis HUGUET théologien ) le Psychiatre G. Colin sur les aspects Psychologiques et un Sociologue. Facilitateur du débat S. Torrés Psychiatre.
Un homme brisé par la mort de son fils Julien âgé de 20 ans, assassiné involontairement sur la route et depuis j'essaye de me reconstruire (Boris C. Nome cela la Résilience). Retrouver un sens à ma vie.
Président de l'association parents-Brisés.org et membre de PSLR